Sites de castings et associations « loi 1901 » : Rappel important
Les sites dit de « casting » ou de « book en ligne », d'« association loi 1901 » voire d’ « agences » de mise en relationsentre modèles et photographes n'ont AUCUNE VALEUR professionnelle, juridique et légale en France en raison d’un videtotal juridique et ne peuvent en aucun cas s'appeler agence (ou "agency") ni en avoir les activités (casting, recrutement,placement...) ne possédant et ne pouvant posséder aucune licence permettant cette activité. Les professionnels et agences de mannequins/modèles ne font jamais appel à de tels sites pour recruter des mannequins. Certains sont sous statut d’ « association loi 1901 ». Rappelons qu’une association est à but « non lucratif » et n’est donc pas compatible avec une démarche professionnelle de placement. Elle peut employer des mannequins/modèles (en les déclarants) mais ne peut se substituer aux activités d’une agence.

Amateur ou professionnel ?

Il n'y a pas de modèle amateur, semi-pro ou professionnel, pour la loi il y a des modèles au sens large du titre. Un modèle amateur ne le fait que par plaisir (comme un photographe amateur), sans rémunération, un professionnel en tire un revenu même s'il est occasionnel, les règles sont les mêmes pour tous.Un modèle amateur qui pose contre rémunération, sans contrat ou sans déclaration, est ce qu'on appelle vulgairement"travailleur au noir", ce qui est illégal en France, avec tous les risques que cela comporte notamment au niveau del'employeur, c'est à dire le photographe lui même qui se met en situation illégale s'il ne déclare pass employer le modèle,même pour quelques heures ou si ce modèle n’est pas lui-même déclaré comme indépendant.

En ce qui concerne les propos ci dessus, il faut bien savoir que les textes en la matière sont bien souvent ou contradictoires ou totalement inexistants outout simplement inadaptés, pour ne pas dire inadaptables. Il est nécessaire dans ce domaine d’ être pragmatique et objectif a la fois.

Tout ce qui se traite en FRANCE au niveau de la photographie échappe a toute règle tant la pratique a pris de L’ ampleur. Au regard des textes ont enviendrait presque a dire que leur respect a la lettre se traduirait comme une entrave a toute entreprise artistique, commerciale voire les deux a la fois.En ce qui me concerne, ma position est claire et je le pense réaliste. Il y a d’ un cote le domaine bien connu(?) des agences de Mannequins, et de l’autretout un domaine ou cohabitent Photographes et Modèles. Chaque intervenant se doit respecter les règles tout en exerçant son activité. Le fait de poser pour un Photographe rémunéré ou non, c’est selon, ne doit pas laisser planer la suspicion. Pour les Modelés professionnels on applique la règle simplel égislative en la matière et pour les Modèles occasionnels qui se font rémunérer, on met en place un système de déclaration simple du genre tryptique.Pour les Modeles qui posent pour le plaisir ( il y en a) on en reste là a condition de faire remplir au préalable par les deux parties un formulaire spécifique protégeant les intérêts de chacun.
Maintenant, en ce qui concerne ceux et celles qui transigeraient avec ses différents régimes, de sanctions sévères devraient être appliquées

Donnez votre opinion sur cette question.



Afin de completer, de renouveller mon dossier de presse, ou d’alimenter les pages de mon site, je recherche recherche en permanence de nouveaux modeles essentiellement des jeunes filles, mais pas seulement. Je recherche aussi des jeunes femmes entre 30 et 40 ans. Je recherche des modeles avec un minimum d’experience et des débutants tres motivees.
Si vous etes interessés, veuillez me contacter soit par téléphone soit par mail. Veuillez m’adressez si possible 2 photos non professionnelles (
150 Ko maximum) vous representant en pieds ( tee shirt short ou maillot de bains.) et un portrait. Veuillez mentionner votre age, vos mensurations, votre poids et votre taille. Veuillez preciser votre niveau en matiere photo.
Veuillez indiquez vos coordonnées electroniques et/ou, un numéro de téléphone. Les photos ne seront pas renvoyées. Veuillez apposer sur celles-ci un copyright ou mentionner au verso «  publication interdite »
Pour celles qui le désirent, vous pouvez préciser votre expérience et vos motivations
 


Au sujet des declarations de L’agessa ( voir contenu du site) On se demande aujourd'hui, pourquoi avoir instauré une telle législation ;La question est de savoir si le Photographe est un commerçant prestataire de divers services en matière photographique, ou un artiste avec tout ce qui s’y rattache;
l’ activité photographique aujourd'hui, ne peut en aucun cas revêtir exclusivement un aspect artistique sauf volonté expresse du professionnel. Quel que soit le domaine d’ activité, sport, mode, mariage, publicité, de nos jours, ceci répond avant tout a un besoin commercial qui a beaucoup empiété sur le domaine purement artistique du début du XXe siècle. La frontiere, je l’accorde, est tres suptile, mais aujourd’hui un Photographe satisfait une demande artistique populaire, qui n’a rien a voir avec une demarche d’artiste. Si telle était le cas, les Photographes se feraient désignés comme photographes artistes. Et quel serait alors le statut des techniciens de retouche que les magazines de mode et de produits de beauté et de publicité se disputent pour donner a leur creation de l’image de la perfection.

Si l’ on accepte effectivement qu’ il existe un domaine spécifiquement artistique au niveau de la photographie, cette démarche se cantonne a des prises de vues sur demandes particulière avec un but esthétique et spéculatif, qui répond expressément a des critères bien définis, des
sujet précis, limitation des tirages destinés a un nombre restreint de personnes, comme le fait le studio HARCOURT bien connu en matière de portrait de personnes du spectacle essentiellement.

en tout état de cause le législateur devra s’atteler a la tache, car en matière photographique c’est tout sauf de l’organisation, le domaine d’exercice est plus que flou. On trouve de tout, du meilleur comme du pire, et la législation en la matière est loin de favoriser la mise en ordre. Nombreux sont les Photographes, qui ne connaissent même pas l’ existence de L’AGESSA et nombreux sont ceux qui se désintéressent d’être affilier ou non. Tant que la Loi ne clarifiera pas les droits et obligations des Photographes on en restera là avec toutes les dérives parfois très graves que cela entraîne, tant au niveau des particuliers que des professionnels



Nombre de jolies filles aux allures de starlettes posent pour des Photographes ou des Photoclubs avec une liberté totale. Ces prestations echappent au respect des conventions commerciales en matiere de déclarations fiscales.
75% des modeles posent contre rémunération et ne s’en cachent pas. Les tarifs pratiqués sont fixés librement et en fonction du type de prises de vues. Même dans les magazines a grands tirages spécialisés dans la photos on peut trouver des annonces de ce genre. Les modeles proposant ainsi leurs services ne sont pas dignes des tarifs qu’ils exigent et par rapport a un modele professionnel ceux-ci sont excessifs. Outre les dangers inhérents a ces propositions, les deux parties s’exposent du faits que l’enjeu se trouve etre le profit, du moins pour le Modele à des sanctions qui peuvent leur faire regretter d’avoir fait fi des regles en matière de déclarations prealable a l’embauche.
Pour un Photographe sérieux, qui cherche a optimiser sa séance, la location d’un Modele professionnel n’a que des avantages. C’est l’agence qui s’occupe de tout et le Photographe n’a aucun soucis en ce qui concerne les règle de declaration préalable.

Si vous souhaitez exploiter financierement le fruit de votre séance, afites appel a un Modele professionnel, sinon faite cela pour le plaisir en prenant soins de faire remplir par votre Modele un formulaire adéquat, mais ne vous exposez pas a des problemes qui peuvent parfois etre serieux

Secteur d’activité : Arts plastiques

Domaine technique : Législation fiscale
Depuis la loi de finances pour 2004 du 30 décembre 2003, les photographes-auteurs peuvent bénéficier d’une exonération de taxe professionnelle. Cette exonération concerne leur activité relative à :
la réalisation de prises de vue ;
la cession de leurs oeuvres d’art ;
la cession de droits patrimoniaux attachés à leurs oeuvres photographiques (cessions du droit de reproduction et représentation)
Les oeuvres sont définies par référence aux opérations réalisées par les photographes bénéficiant du taux réduit de TVA à 5,5%. Le bénéfice de ce taux est réservé aux livraisons d’oeuvres d’art par l’artiste lui-même. Constituent notamment des oeuvres d’art, les photographies prises par l’artiste, tirées par lui ou sous son contrôle, signées et numérotées dans la limite de 30 exemplaires, tous formatset supports confondus.Cependant, ne peuvent être considérées comme des oeuvres d’art susceptibles de bénéficier du taux réduit de la TVA que les photographies qui témoignent d’une intention créatrice manifeste de la part de leur auteur.Pour l’administration fiscale, cette intention se révèle lorsque le photographe réalise un travail qui dépasse la simple fixation mécanique du souvenir d’un événement,d’un voyage ou de personnages et qui présente donc un intérêt pour tout public.En outre, l’intention créatrice de l’auteur peut être déterminée par d’autres indices résultant tant de la destination des photographies que des moyens utilisés par le Photographe :
l’exposition des oeuvres dans des institutions culturelles (régionales, nationales ou internationales), muséales (musées, expositions temporaires ou permanentes) ou commerciales (salons, galeries,
etc.) ;laprésentation des oeuvres dans des publications spécialisées.
l’utilisation de matériels spécifiques tant en termes de prise de vue que de développement.
(Par conséquent, compte tenu des critères retenus pour qualifier la photographie d’oeuvre d’art, l’exonération de taxe professionnelle ne peut à priori être appliquée aux activités liées aux photographies
d’identité scolaire, de groupe ou illustrant des événements familiaux



Je sillonnne la FRANCE et L’europe de l’Est depuis pas mal d’ années et je me pose la même question “ est ce vraiment difficile d’être Mannequin ou Modele?”Si l’on dresse un bilan de ces années passées, je dirais “ non! Pas vraiment”Soyons explicite et objectif. J’ai du caster environ un millier de jeunes filles entre 14 et 22 ans et je peux vous dire que le resulat laisse perplexe.J’ai du distribuer pas loin du millier de cartes de visite et le retour est estimé a 4% a peine. Vous allez me dire, ce n’est pas si mal!. Eh bien non, plutot médiocre quand on précise que toutes ces démarches visaient des candidates avec un certain potentiel ( taille, age, mensurations, physique, allure et maintien ). De là a penser que les Jolies filles ne s’interessent pas tant que cela au domaine du mannequinat il n’y a qu’un pas. Heureusement, j’ai croise quelques volontaires, répondant aux critères les plus exigeants, avec en prime, la motivation. C’est une consolation. Alors j’ai mis une sourdine a mes ardeurs des premiers temps et je ne crois plus ni aux miracles, ni au”nez”.Je prends comme ça vient et ce n’est pas plus mal. Je photographie avant tout pour le plaisir et celui de celles qui le souhaitent, et si par bonheur je capte du potentiel indéniable, c’est la cerise sur le gateau. Alors voici venu le moment de la réponse :Non, il nest pas si difficile que cela de devenir Mannequin ou Modele, le rester; Si !Promenez vous dans les rues, les grands magasins les transports en commun...et essayez de voir plus loin que la simple apparence. Estimez les mensurations, la taille, le maintien, la démarche et vous allez voir que les perles sont plutôt rares et là dessus il faut enlever celles chez qui la motivation est absente...il reste une misère.La raison est simple, elle tient a deux facteurs. Le facteur évolutif. Les filles ont changé, cela tout le monde semble le savoir. Elles ont changé leur façon de se comporter, sous pretexte d’acquérir une certaine liberté. Une certaine autonomie et l’égalité, elles se sont parées des mêmes défauts que ceux a qui elle voulaient ressembler, elles en ont emprunté le même langage ainsi que la même gestuelle au point d’en être dénaturées. Le facteur médiatique. Il montre plus souvent le coté sombre que la face intéressante du métier. Ce n’est pas un tort, au contraire, mais les intéresses s’impregnent à raz Bord de ces faits divers. S’il est normal de porter l’attention des futures candidates sur les cotés pas très jolis de ce monde abstrait, pour le commun des mortels, il nous est fait obligation ‘en dresser aussi les cotés positifs.Un petit conseil, ne cherchez surtout pas la perle rare dans les discothèques et sur les plages de sable blanc; C’est de l’artificiel ( pas le sable!) sauf tres rare exception. Parfois le sujet est au coin de votre rue, dans les allées des grandes surface ou tout autre lieux populaire, avec un peu d’attention on peut trouver...Mais pas en expo sur les dance floor ou les beaux rivages ensoleillés.

Cette expression bien connue pourrait s’appliquer a la photographie, du moins sous certains angles.
En effet aujourd’hui nombreux sont ceux qui renient ce qui a pourtant contribué à instaurer la photo numérique dans la vie de tous les jours.
Avant d’en arriver là, plus d’un siècle de pratique de l’argentique a permis a chacun d’entre nous de visionner tout ce que les publications et les laboratoires nous donnaient à voir.
Des lors on n’imaginait pas qu’un jour, nous serions amené à fermer notre chambre noire définitivement à ranger nos éprouvettes, lumière inactinite et pinces, au fond d’un placard de la cave.
Pourtant le progrès ne nous a pas demandé notre avis et nous a happés dans les tourbillons des pixels.
Deux attitudes se sont alors dessinées, l’une consistant à accepter ce qui devait aller dans le sens de l’évolution naturelle et celle qui consistait à nier cette évidence bien souvent par effet d’hypocrisie ou de crainte.
La premiere ont permis le passage en douceur dans les mœurs du phénomène numérique, l’autre a hypocritement affirmé, «  il faut bien faire comme tout le monde » l’air de laisser croire qu’elle était en fait pour les deux écoles mais sans en penser un mot.

Pragmatique ! C’est le terme qui conviendrait le mieux à cette transition. Sans renier ce qui a fait de beaucoup d’entre nous des photographes amateurs ou professionnels, nous devons au contraire nous estimer reconnaissant que la technique argentique nous ait fait connaitre la sensation de la capture d’un moment de notre vie, un regard, une expression, un paysage, des souvenirs de vacances aux événements familiaux.

Je me souviens de toute l’expression qui a accompagnés les balbutiements de l’ère numérique. Cela allait déclencher une faillite des marques, un raz de marée du chômage chez les fabricants, une catastrophe pour les quotidiens…Heureusement, cela a été tout le contraire. L’ère numérique, de par ses performances, sa miniaturisation, son faible cout et sa polyvalence en qualité de média, a insufflée un regain nouveau et populaire pour la photo, tant chez les gens âgés que chez les plus jeunes. Et aujourd’hui, prendre une photo est devenu aussi simple que de respirer, même les téléphones portables sont devenus performants en la matière.

Cependant le tableau n’est pas tout rose et comme toute bonne chose a son revers, je serais tenté de m’inquiéter de ce trop plein d’enthousiasme, surtout chez les très jeunes. En effet, les téléphones portables sont devenus aujourd’hui, du moins chez l’adolescent et les jeunes filles et garçons le premier outil photographique et les échanges de clichés se font par millions chaque jour. Jusque là me direz vous, où est le problème ?
Eh bien ne cherchez pas très loin la réponse et l’exposé du problème ; Si faire des photos est une opération techniquement a la portée de toutes et tous, je me pose la question de savoir ou vont all
er en fin de courses toues ces photos. Lorsque nous et nos ainés étions jeunes, les clichés se conservaient sur papier ou dans des boites à négatifs et la mémoire photo se transmettait de génération en génération. A l’heure actuelle si